1. |
Umbra
06:25
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2. |
Altum
00:58
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3. |
Noctem
03:36
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4. |
Lumen
06:13
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5. |
Ver
01:34
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6. |
Miseria
05:34
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supported by 5 fans who also own “Noctem 2022 Remaster”
Faces of Insanity, troisième album du groupe russe Epitimia, est parsemé de concepts psychiatriques mais le plus important est, je pense, celui du test de Rorschach : ce qui compte, ce n'est pas la perception mais l'interprétation. Pour pousser à cet effort, Epitimia navigue volontairement entre deux eaux : la production, les guitares et le chant ont le tranchant du DSBM (Epitimia se rapproche de Psychonaut 4 sur la cinquième piste) mais les mélodies sont très riches, voire groovy. C'est fort !
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The Grand Contraction
by The Foetal Mind
supported by 5 fans who also own “Noctem 2022 Remaster”
Si "enfant" vient du latin "infans" ou "[celui] qui ne parle pas", alors The Grand Contraction, deuxième opus de The Foetal Mind, est un vrai retour en enfance : mis à part "Big Crunch", toutes les pistes sont instrumentales. Par ailleurs, le quartette français joue tout avec ce qui lui passe sous la main, il prend des risques en oubliant la peur de trébucher : en plus du doom metal, il combine metal classique avec black metal atmosphérique et blackgaze avec un talent assez unique. Audacieux !
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No stars, only full dark
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Shivery and cold, yet with a subtle feeling of warmth enfolding each track. It's instantly engaging, with a great message overall and a cinematic story behind "Neswa-Pawuk". It's emotional without losing the black metal spirit.
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featured on Bandcamp Radio May 14, 2021
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The Alberta crushers hold tight to their rank, astral-gazing grindcore, staring down abyssal torment all the while.
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Slip into the shadows with this eerie darkambient/dark folk record from Pittsburgh’s Vale.
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Drawn to Descend
by Ov Hollowness
supported by 4 fans who also own “Noctem 2022 Remaster”
Écouter un album de black metal dépressif est un acte volontaire qui ne relève pas du hasard : on passe un pacte avec l'artiste et on accepte même l'idée que ce soit une expérience ultime. Drawn to Descend, deuxième album de Ov Hollowness, refuse ce système d'accord : s'il porte ce nom, c'est parce qu'avec l'introduction de riffs thrash metal, des mélodies catchy et parfois du chant clair, le black metal de ce one-man band nous attrape par le col et on a même envie d'y retourner une fois fini !
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